On les trouve partout partout partout, surtout en banlieue. Ils sont apparus dans les années 1950. J’en ai photographié plus de mille, surtout dans la grande région de Montréal mais aussi un peu partout dans les plus petites villes, même en zone rurale voisinant parfois la maison patrimoniale et familiale souvent abandonnée de l’autre côté de la route ou ailleurs sur le terrain. Après plus de 60 ans d’existence ils font maintenant, qu’on le veuille ou non, partie prenante du patrimoine immobilier de la province.

À noter qu’une nouvelle tendance vise à les démolir pour construire à la place des résidences plus grandes comprenant plusieurs logements ou copropriétés diverses.